4/5/2023 1 Commentaire Et, si je vous disait que les plantes communiquent entre elles par fréquence !Une vidéo d'expérimentation pour le prouver. Le texte est en anglais, mais vous pouvez ajouter les sous titres en Français. Les plantes peuvent-elles réellement éprouver des choses? C’est ce qu’a conclu Cleve Backster dans les années 1960. Steve est un ancien spécialiste du centre d’interrogation de la CIA et a étudié la croissance des végétaux afin d’en apprendre davantage sur leurs capteurs polygraphiques. Il a fini par découvrir que les plantes réagissaient au danger imminent (comme lorsqu’on les coupe) et aux pensées nuisibles des humains à proximité d’elles.
Instinctivement, Backster a joint ces électrodes polygraphiques au célèbre arbre Dracaena dans son bureau, puis il a arrosé la plante en observant la réaction de ses feuilles. Constatant que la plante a en effet réagi à cet événement, il a décidé de voir ce qui arriverait si on la menaçait, et il s’est imaginé une allumette en train de brûler ses feuilles où étaient fixées les électrodes. Les plantes ressentent la douleurEt soudain quelque chose s’est produit et a changé pour toujours la perception de la vie de notre Baxter. La plante n’a pas attendu le moment où il allait brûler les feuilles, elle a réagi à ses pensées! Grâce à d’autres recherches, Backster a constaté que c’était son intention et non pas la pensée en elle-même qui a provoqué cette réaction. Elles communiquent également !Il a aussi découvert que les plantes étaient conscientes de la présence des autres plantes, qu’elles pleuraient le décès de tout être (même des bactéries tuées à l’eau bouillante), qu’elles détestaient fortement ceux qui ont négligé et tué les plantes pendant la recherche scientifique et avaient un souvenir affectueux et ont étendu leur énergie aux gens qui avaient contribué à leur bien-être. En fait il se trouve que les plantes peuvent réagir « dans l’instant » aux événements qui se déroulent. Elles n’ont pas seulement des éléments psychiques mais aussi des éléments prophétiques, elles anticipent les événements négatifs et positifs dont les conditions météorologiques. Backster a découvert que, au lieu de s’emporter, les plantes qui se trouvent en présence d’un immense danger ont des symptômes catatoniques! Ce phénomène a posé des problèmes sans fin pour les chercheurs qui à la différence de Backster ne respectent pas la sensibilité de leurs sujets. Dans de telles circonstances, les plantes analysées ne manifestent aucune réaction. Elles « se referment » tout simplement.
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